tarot 3 cartes
Le tarot des humains
3 cartes au hasard
60 cartes + 1 joker pour repérer sans complaisance
les stratégies, les manigances, les manipulations du mental
Chaque carte porte un nom et est accompagnée d’un texte.
Les mots ne sont pas importants. Ressentez. Laissez-vous impacter par l’image et le texte.
La victime
“Pourquoi est-ce que ça tombe sur moi ?”
“Pourquoi est-ce que je n’ai jamais de chance ?”
“Pourquoi est-ce que je rencontre toujours les mauvaises personnes ?”
Le mental ne perd jamais l’occasion de faire monter son humain sur le podium de la victimisation. L’humain consacre une énergie folle dans la plainte et la recherche de tout ce qui valorisera son image de victime.
Le lâcher-prise se produit spontanément quand l’humain ne se demande plus : pourquoi cela m’arrive ? Ca lâche prise pour un humain quand il ne se révolte plus sur tout ce qui lui arrive, quand il constate que ce qui lui arrive ne peut pas ne pas lui arriver.
L'identification
Mon mental !
Quand un humain dit “Mon mental”, il tombe dans un premier piège. Il s’approprie le mental. Comme si le mental était son identité.
Le mental joue à se glisser dans l’histoire de chaque humain. Pour faire croire qu’il est réel, il ajuste sa mécanique, ses stratégies et ses manifestations à l’histoire de chaque humain.
Le mental est commun à tous les humains mais il s’adapte à chaque humain en particulier pour mieux le contrôler. Il prend différentes formes successivement ou simultanément.
Laisser la place
“J’aimerais tellement être à sa place.”
“Je suis humble et je laisse la place aux autres sans m’exposer au premier plan.”
Beaucoup d’humains expérimentent la sensation impérieuse de ne pas être à leur place.
Cette sensation est délirante. Malgré les apparences, cette sensation n’a rien à voir avec le respect des autres. Le mental convainc son humain qu’il vaut moins que les autres et que c’est très honorable de le reconnaître.
Tout humain, quelle que soit la place qu’il croit occuper, est toujours à sa place. S’il se voit délocalisé, c’est à partir de la place qu’il occupe.
Où pourrait-il être sinon à sa place ?